PERA, Pia - Ce que je n'ai pas encore dit à mon jardin

Publié le par Club Lecture de Soultz

PERA, Pia - Ce que je n'ai pas encore dit à mon jardin (Arthaud)

Se sachant condamnée, P. Pera, souffrant d'une maladie neuro dégénérative, découvre le poème d'E. Dickinson qui donne son titre à cet essai. Créatrice de son jardin en Toscane, elle trouve son havre de paix dans ces vers sur le jardinier et la mort. Avant de décéder dans sa propriété, elle se rapproche de plus en plus de son jardin et s'y réfugie, profitant jusqu'au bout de la beauté de la nature.

 

Quels magnifiques instants de poésie ! J’ai dévoré cette œuvre… Pia Pera donne à réfléchir et ne laisse pas indifférente. Authentiques, sincères, braves et pleine de vérité ces lignes témoignent de son sentier vers la mort avec beauté. Merci.

L’auteure atteinte d’une grave maladie nous entraine dans son quotidien qu’elle supporte grâce à son jardin et le ravissement qu’il lui procure. C’est triste et grave au fur et à mesure qu’elle approche de l’issue fatale.

Ecriture au jour le jour, émotion et ravissement sont liés. Beau journal de sa vie.

Publié dans Premières impressions

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